Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Stefan Zweig
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Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Stefan Zweig
128 p., Le Livre de Poche, mai 1992
Quatrième de couverture :
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
Re: Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Stefan Zweig
j'ai beaucoup aimé ce livre. Zweig fait de très belles descriptions. On ressent très bien toutes les émotions des personnages, la tristesse de l'homme, sa joie et son désespoir. On sent que Mme C veut l'aider et on présent l'issue finale. Le temps est comme eux et ils changent suivant leur humeur.
Une image: elle dans le kiosque et lui sur le banc, la pluie qui tombe sur lui, lui qui ne bouge pas, insensible.
La passion peut nous mener à faire n'importe quoi , même par une personne sérieuse.
L'obsession du jeu peut nous faire devenir fou.
j'ai trouvé la fin belle apaisante
L'histoire n'est pas longue mais il n'a rien à ajouter tout est dit
Une image: elle dans le kiosque et lui sur le banc, la pluie qui tombe sur lui, lui qui ne bouge pas, insensible.
La passion peut nous mener à faire n'importe quoi , même par une personne sérieuse.
L'obsession du jeu peut nous faire devenir fou.
j'ai trouvé la fin belle apaisante
L'histoire n'est pas longue mais il n'a rien à ajouter tout est dit
Re: Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Stefan Zweig
J'adore cet auteur, son écriture est tellement belle, je suis totalement fan. Je te conseille La pitié dangereuse mais tous les romans de Stefan Zweig sont très bons voir excellents. Il a toujours le mot juste, il traduit les sentiments avec beauté, finesse et réalisme.
SylvieCerisia- Messages : 47
Date d'inscription : 04/08/2017
Age : 56
Re: Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Stefan Zweig
je suis comme toi sylviecerisia j'aime beaucoup cet auteur
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